• NETWORKS LINKSNETWORKS LINKS

     

    LES RÉVÉLATIONS CACHÉES - LA RECONSTRUCTION DU TROISIÈME TEMPLELES RÉVÉLATIONS CACHÉES - LA RECONSTRUCTION DU TROISIÈME TEMPLELES RÉVÉLATIONS CACHÉES - LA RECONSTRUCTION DU TROISIÈME TEMPLE

     

    Noël est une fête païenne et tout savoir sur son origine.

     

     Noël est une fête païenne et tout savoir sur son origine.

     Pour des milliards de personnes de par le monde, la période de Noël est le moment de l’année le plus impatiemment attendu. Bien sûr, pour beaucoup d’autres, Noël est une période déprimante, qui accentue leur solitude et leur isolement familial. La saison de Noël est l’époque où il y a le plus grand nombre de fêtes et de réceptions. Mais c’est également celle qui enregistre le plus grand nombre de suicides.. 

    Noël est une fête païenne 

    Des millions d’autres personnes sont tout simplement dégoûtées ou offensées par le mercantilisme déraisonnable, associé à Noël. Noël est devenu aujourd’hui une activité commerciale particulièrement aux Etats-Unis – et au Canada. Pour la plupart des commerçants, les ventes de Noël représentent une part très importante de leurs marges bénéficiaires annuelles. C’est pourquoi, dès le début du mois de novembre, les mélodies traditionnelles de Noël retentissent dans les centres commerciaux, en Amérique du Nord. Les commerçants essayent de mettre les gens « dans l’ambiance », pour qu’ils commencent très tôt à faire leurs achats.

    Dénonçant l’exploitation commerciale de cette saison – et profondément inquiets des tentatives engagées pour supprimer toute allusion à ADONAÏ ELOHIM YHWH "Dieu" et à la TANAKH "Bible" – de nombreuses personnes religieuses, bien intentionnées, exigent que le MESSIE "Christ" soit « réhabilité » derrière les fêtes de Noël. Elles affirment que les laïques ont détourné une fête chrétienne, sacrée, à des fins individualistes.

    La société occidentale est de plus en plus décrite comme une société « post-chrétienne », où les élites séculières sont devenues « les nouveaux païens ». Dans un tel environnement, les chrétiens devraient-ils se liguer pour, d’une certaine manière, reprendre Noël ? Dans une société de plus en plus coupée de ADONAÏ ELOHIM YHWH "Dieu", peut-on réduire cette fracture en encourageant les références à YAHUSHUA HA'MASHIAH "Jésus-Christ", pendant les fêtes de Noël ?

    Quelle attitude ADONAÏ ELOHIM YHWH "Dieu" veut-Il que Son peuple adopte vis-à-vis de Noël ? YAHUSHUA HA'MASHIAH "Jésus-Christ" est-Il réellement « le motif de ces fêtes » ? Vous serez peut-être surpris d’apprendre que Noël n’a, en réalité, aucune origine chrétienne ou messianique ! Bien des siècles avant la naissance de YAHUSHUA HA'MASHIAH "Jésus-Christ" à Bethlehem, les gens décoraient déjà des arbres à feuilles persistantes, s’échangeaient des cadeaux, et participaient à des fêtes et à des réceptions bien arrosées, le 25 décembre.

    Comment Noël est-il devenu la principale fête « chrétienne » ? Cette fête est-elle – et peut-elle être – vraiment chrétienne ? Vous pouvez chercher dans le Nouveau Testament, de la première à la dernière page, vous ne trouverez jamais la moindre mention de la fête de Noël. De même, vous ne lirez jamais qu’un service religieux ait été tenu pour commémorer la naissance de Jésus.

    Si les premiers chrétiens ne célébraient pas Noël, quelle en était la raison ? Quand et comment cette fête a-t-elle atteint une telle importance dans le calendrier des Églises, qui se disent chrétiennes ?

    Les gens pensent partout que Noël est la plus belle fête chrétienne. Sans se poser de questions, ils présument qu'il est nécessaire de la célébrer. Aujourd'hui, ils continuent à supposer que Jésus est né le 25 décembre, et que la Bible souligne cette date pour que les Chrétiens l'observent.

    CECI EST UNE TROMPERIE ! Il y a certains faits dont nous devons avoir connaissance. Arrêtons d'agir dans l'ignorance, nous qui sommes censés représenter sa parole aux nations.

    Le mot "Noël" vient du latin "natalis", qui signifie "jour de naissance". Ce mot nous est apparu pour désigner une messe catholique célébrant la naissance de Christ. Mais d'où les catholiques tiennent-ils cela ?... De la célébration païenne du 25 décembre, l'anniversaire de "Sol", le dieu soleil ! L'observation de cette date était un ancien rite du Baalisme - que la Bible condamne complètement. Il n'en est pas fait mention dans le Nouveau Testament, et ni l'Apôtre Paul, ni la véritable église des premiers jours ne l'a observée ! C'est l'une des fables dont parle Paul dans 2 TIMOTHEE 4:4. Il a affirmé que cette coutume tromperait les hommes du monde, les égarant et leur faisant suivre un Evangile faible et sans puissance !

    NOËL N'EST PAS DU TOUT L'ANNIVERSAIRE DE CHRIST. Cette fête n'est pas d'origine chrétienne et ni messianique mais païenne, car elle vient de Babylone. Certains disent : "Et alors ? C'est l'intention de ce moment-là qui compte !"

     

    Allons un peu plus loin...

    YAHUSHUA "JESUS" n'est pas né le 25 décembre, Il n'est pas né pendant l'hiver non plus. Pourquoi ? Parce qu'il y avait des bergers dans les champs qui gardaient leurs troupeaux durant la nuit (LUC 2:8). A compter du 15 octobre, en Israël, les bergers ramenaient leurs troupeaux des montagnes et des champs et les enfermaient pour les protéger du froid et de la pluie qui sévissaient après cette date (voir le CANTIQUE DES CANTIQUES 2:11 et ESDRAS 10:9,13). L'hiver en Israël est une saison pluvieuse, et les bergers restent à l'intérieur pendant cette période. C'était la coutume pour les Juifs de l'époque de faire sortir leurs moutons dans les champs et le désert aux environs de la Pâque (au début du printemps), et de les faire rentrer au commencement des premières pluies. Les bergers veillaient sur leurs troupeaux jour et nuit. N'importe quelle encyclopédie vous expliquera que HA'MASHIAH "Christ" n'est pas né le 25 décembre ; la date de sa naissance n'est pas connue. Si ADONAÏ ELOHIM YHWH "Dieu" avait voulu que les hommes adorent un Bébé à "Noël", Il aurait mis des instructions à ce sujet dans Sa TANAKH  "Parole" et n'aurait pas tenu cette date cachée.

    La plupart des gens négligent une autre preuve importante. Dans Luc 1 :35-36, nous apprenons que Jean-Baptiste, mis au monde par la cousine de Marie, Elizabeth, était environ six mois plus âgé que YAHUSHUA "Jésus". Nous pouvons lire que le père de Jean, Zacharie, était un prêtre assez âgé qui officiait dans le temple ; il brûlait de l’encens sur l’autel lorsqu’un ange lui apparut pour lui dire que lui et sa femme auraient un fils, qui préparerait le chemin pour le Messie (versets 8-17). Nous savons approximativement quand l’ange lui fit cette annonce, car la Bible dit que Zacharie était « de la classe d’Abia » (verset 5).

    Qu’est-ce que la « classe d’Abia » ? Des siècles auparavant, à l’époque du roi David, il y avait un grand nombre de prêtres. Le roi David les divisa en vingt-quatre « classes » (ou groupes), pour servir dans le temple selon un cycle régulier (1 Chroniques 24 :1-9). La classe d’Abia (ou d’Abija) était la huitième des vingt-quatre classes, et commençait normalement sa première semaine de service vers la fin mai. Comme la Pentecôte, la deuxième des trois grandes périodes de pèlerinage, tombait la semaine après le service de la huitième classe – et que les vingt-quatre classes étaient réunies pour assurer le service au cours des trois saisons de Fête – Zacharie ne pouvait pas rentrer chez lui avant, approximativement, la première semaine de juin. Si Jean-Baptiste a été conçu peu après le retour à la maison de Zacharie, vers la mi-juin, sa naissance aurait eu lieu neuf mois plus tard – vers la mi-mars. YAHUSHUA "Jésus", qui était six mois plus jeune, serait alors né à la mi-septembre. Cela, bien sûr, alors que les bergers étaient encore dans les champs, la nuit, pour garder leurs troupeaux (Luc 2 :8).

    Considérons également l’image traditionnelle des trois mages qui, avec les bergers, sont généralement représentés debout dans l’étable, pour célébrer le Messie qui vient de naître. Nulle part, la Bible ne dit qu’il y avait trois mages, mais elle révèle que les mages sont arrivés au moins quelques semaines après Sa naissance – alors que YAHUSHUA "Jésus" et Ses parents logeaient dans une maison (Matthieu 2 :11). Nous lisons que ces mages venaient de l’Orient. Au 1er siècle, cela signifiait généralement qu’ils venaient au-delà de l’autre rive de l’Euphrate (la frontière orientale de l’Empire romain de l’époque). A l’est de l’Euphrate se trouvait l’Empire parthe, foyer de nombreux restes des dix tribus d’Israël, qui avaient été emmenées captives par les Assyriens, plus de sept siècles auparavant. Les mages arrivèrent au palais du roi à Jérusalem, quelques semaines après la naissance de YAHUSHUA "Jésus", pour voir le Messie. Ils avaient vu une « étoile » mystérieuse en Orient, qui les avait poussé à entreprendre leur voyage en Juda. Après avoir entendu les mages au sujet du moment où était apparue l’étoile, et sur ce qu’elle présageait, Hérode ordonna le massacre de tous les garçons à Jérusalem âgés de deux ans et au-dessous (Matthieu 2 :16).

    Nous savons par Luc 2 :22 que les parents de YAHUSHUA "Jésus" Le présentèrent au temple lorsqu’il fut âgé de quarante jours (Lévitique 12 :2-4). Ils étaient donc encore dans le secteur de Jérusalem, lorsqu’il avait environ six semaines. Mais, la famille s’enfuit en Égypte, après que Joseph eut reçu un avertissement, dans un songe, sitôt après la visite des mages (Matthieu 2 :13-14). Il est évident que les mages ne sont pas arrivés juste après la naissance du MASHIAH "Christ".

     

           L’origine de Noël

    Saviez-vous que des fêtes de Noël se tenaient à Rome, bien avant qu’il n’y en ait eu à Jérusalem ? Comment est-il possible qu’une fête, dans la plupart du temps associée à Jésus-Christ de Nazareth, tire ses origines de Babylone et de l’Egypte, plusieurs siècles avant Sa naissance ? Et, comment une telle fête peut-elle être si largement reconnue comme chrétienne ?

    Pour nous aider à comprendre, considérons la signification du mot anglais « Christmas », traduit en français par « Noël ». « Christmas » signifie « mass of Christ » ou « la messe du Christ ». Cette fête trouve ses origines dans les pratiques de l’Eglise catholique romaine. Pourtant, même les sources catholiques reconnaissent que Noël ne faisait pas partie des premières fêtes célébrées par l’Eglise, et qu’elle n’a aucune origine apostolique. Notez : « Noël [Christmas, c’est-à-dire la Messe du Christ], dans l’Eglise chrétienne, la fête de la nativité de Jésus-Christ […] à la fin de l’an 245, Origène, dans sa huitième homélie du Lévitique, repoussa l’idée pécheresse de l’observance de l’anniversaire de la naissance du Christ “comme s’il s’agissait d’un roi Pharaon”. La première mention précise officielle du 25 décembre, dans les annales romaines, date de l’an 354 apr. J.-C., qui furent publiées en entier pour la première fois par Mommsen. [… le 25 décembre] était une fête en l’honneur de Mithra, selon les annales mentionnées ci-dessus, mais c’était aussi la célébration du natalis invicti solis, ou l’anniversaire du soleil invaincu » (Encyclopeadia Britannica, onzième édition, article “Christmas”. C’est nous qui traduisons tout au long de cet article).

    Le Nouveau Testament révèle clairement certaines dates importantes ; nous lisons, par exemple, que YAHUSHUA HA'MASHIAH "Jésus-Christ" est mort le jour de la Pâque. Mais les Écritures ne mentionnent pas la date de naissance de Jésus, et ne disent point que les chrétiens la célébrèrent. En fait, la Bible associe la célébration des anniversaires de naissance aux pratiques des rois païens, et elle ne désigne jamais de telles célébrations comme étant positives. C’est pourquoi, Origène – l’un des premiers « Pères » de l’Église romaine, qui écrivit au 3ème siècle – fut choqué à l’idée même de célébrer la naissance du Sauveur.

    Lorsque l’Église catholique établit une fête en l’honneur de la naissance du Messie, elle s’arrangea pour que celle-ci coïncide avec une fête païenne existante, laquelle célébrait la naissance du dieu soleil. En cooptant les rituels et les coutumes païennes existantes, l’Église pensait rallier les peuples païens à sa vision du christianisme, en autorisant aux convertis de continuer à pratiquer leurs anciennes coutumes tout en les renommant avec des noms différents.

    L’image de « la mère et l’enfant » dans la religion était bien connue du monde païen antique. Dans l’Antiquité, les Babyloniens et les Egyptiens adoraient une « Madone » qu’ils révéraient comme la « Reine du ciel » – un titre que l’Eglise romaine appliqua, des siècles plus tard à Marie, la mère de Jésus. En Égypte, Isis était la mère et Horus était l’enfant. En Mésopotamie, c’étaient Ishtar et Tammuz.

    Ces récits remontent à Sémiramis et Nimrod, dans les années qui suivirent le déluge de Noé. Nimrod était un puissant chasseur (Genèse 10-11), et il conduisit la rébellion des gens contre ADONAÏ ELOHIM YHWH "Dieu", à la tour de Babel. Nimrod fut l’un des principaux architectes de la civilisation humaine qui commença à Babylone, et qui se répandit dans le monde lorsque les gens émigrèrent pour repeupler la terre, après le déluge.

    La véritable origine de Noël remonte à ces temps anciens, avant d’être adoptée par une Église « chrétienne » apostate. Le solstice d’hiver – le jour le plus court de l’année dans l’hémisphère Nord – était anciennement associé à la naissance du dieu soleil. C’était une période de festivités. Appelée les Saturnales par les Romains, cette fête ressemblait étonnamment à notre Noël moderne, où l’on offrait des cadeaux. Les hostilités cessaient, les offices civils étaient suspendus, et des fêtes étaient organisées. « D’ordinaire, les amis s’offrent des présents les uns aux autres, toutes les rivalités cessaient, il n’y avait pas d’exécution de criminels, les écoles étaient fermées, on ne déclarait pas la guerre, mais tout n’était que gaîté, chahut et débauche » (Lempriere’s Classical Dictionary, article : “Saturnalia”).

    Saint-Nicolas et le Père Noël

    Noël est une fête païenne et tout savoir sur son origine.Eux aussi sont d'origine païenne. "Saint Nicolas" tient son nom d'un évêque catholique qui vécut au cinquième siècle. Saint Nicolas était évêque de Myre, c'était un "Saint" honoré par les Grecs et les Latins à la date du 6 décembre. On prétend qu´une légende, selon laquelle il accorda secrètement des dots aux trois filles d'un citoyen devenu pauvre, est à l'origine de la coutume qui consiste à offrir des cadeaux en secret, le soir de la Saint-Nicolas (le 6 décembre). L'invention du "Père Noël" est inspirée de Saint Nicolas, d'où l'amalgame entre les dates de leur célébration.

     

     

    L'arbre de Noël

    Noël est une fête païenne et tout savoir sur son origine.Il serait bon, sur ce point, de voir ce que la Bible dit au sujet des sapins de Noël.

    "Ainsi parle l’Éternel YHWH : n'imitez pas la voie des nations,... Car les coutumes des peuples ne sont que vanité, on coupe le bois dans la forêt; la main de l'ouvrier le travaille avec la hache; on l'embellit avec de l'argent et de l'or, on le fixe avec des clous et des marteaux, pour qu'il ne branle pas." JÉRÉMIE 10:2-4

    Notez qu'il nous est dit de ne pas imiter cette voie ni de suivre ces coutumes.

    Les cadeaux de Noël

    La saison des achats de Noël semble être la partie la plus importante de la célébration de Noël. Beaucoup disent : "Bon, la Bible nous dit de faire des cadeaux. Les rois mages n'ont-ils pas offert des cadeaux quand Christ est né ?"

    QUELLE EST L'ORIGINE HISTORIQUE DES CADEAUX DE NOEL ? Comparons la coutume d'aujourd'hui avec ce que dit la Bible :

    S'échanger des cadeaux entre amis est une caractéristique à la fois des Fêtes Saturnales et de Noël (qui s'est transmise de l'une à l'autre). S'échanger des cadeaux pendant la période de Noël n'est en rien chrétien. Ceci ne célèbre pas l'anniversaire du MASHIAH "Christ", ni ne L'honore !

    Supposez que vous vouliez honorer quelqu'un le jour de son anniversaire. Achèteriez-vous des cadeaux pour tout le monde, excepté pour celui dont vous célèbreriez l'anniversaire ?

    Pourtant, c'est ce que font les gens année après année (soi-disant avec des intentions religieuses), année après année. Le MESSIE "Christ" n'est pas honoré du tout et la plupart des gens ne font qu'offrir des cadeaux à leurs amis, ou aux membres de leur famille. Les gens sont trop occupés pour penser à YAHUSHUA HA'MASHIAH "Jésus-Christ".

    La Bible dit :YAHUSHUA "Jésus" étant né à Bethléhem en Judée, au temps du roi Hérode, voici des mages d'Orient arrivèrent à Jérusalem, et dirent: Où est le roi des Juifs qui vient de naître?... Ils entrèrent dans la maison, virent le petit enfant avec Marie, sa mère, se prosternèrent et l'adorèrent; ils ouvrirent ensuite leurs trésors, et lui offrirent en présent de l'or, de l'encens et de la myrrhe." MATTHIEU 2:1-11

    Constatons qu'ils ont demandé l'enfant YAHUSHUA "Jésus" qui était né Roi des Juifs, et qu'ils offrirent des cadeaux seulement à YAHUSHUA "Jésus", pas à leurs amis, ni les uns aux autres. Ils vinrent pour honorer leur Roi.

    Aussi, nous devrions nous rendre compte qu'il n'y a aucun fondement biblique justifiant la célébration de Noël. Noël, est une fête païenne, et commerciale.

    Les mères emmènent leurs enfants voir des "Pères Noël" païens dans les magasins ; les familles se réunissent pour célébrer une fête qui a été instaurée des siècles avant J.C. par un peuple païen - QUEL EST LE RAPPORT AVEC CHRIST ?

    Les gens sont prisonniers du matérialisme du monde d'aujourd'hui, trompés par les adversaires de notre ELOHIM "Dieu", ils adorent des idoles. Une grande partie de l'effondrement de l'ordre du monde actuel vient du fait que les nations adorent un autre ELOHIM "Dieu", suivent un autre MESSIE "Jésus", et proclament un "Évangile" que nous ne trouvons pas dans la Parole de ADONAÏ ELOHIM YHWH "Dieu".

     

    Quelle différence cela fait-il ?

    Noël est une fête païenne et tout savoir sur son origine.

    Presque tous les ans, les journaux et les magazines publient des articles qui font remarquer que les coutumes de Noël ne viennent pas de la Bible, mais de l’antiquité païenne. La plupart des lecteurs, confrontés à cette réalité, disent simplement : « On ne voit pas quelle différence cela fait », et ils poursuivent leurs préparatifs de Noël. Des millions de prétendus chrétiens affirment qu’ils célèbrent la fête en l’honneur du Christ, sans se soucier de l’origine des pratiques païennes qui se cachent derrière Noël.

    Est-ce que cela rend Noël agréable aux yeux de Dieu ?

     

    Il y a plusieurs siècles, les Ecritures devinrent largement accessibles lorsque les croyants protestants se débarrassèrent des chaînes de l’Eglise romaine médiévale, qui avait le monopole de la Bible. Les étudiants avides de découvrir la Bible décelèrent de nombreuses contradictions, en confrontant les croyances de l’époque avec la parole divine. L’un de ces thèmes concernait la célébration de Noël. A quelle conclusion parvinrent-ils ? Selon la onzième édition de l’Encyclopaedia Britannica : « En 1644, les Puritains anglais interdirent toutes réjouissances ou services religieux [pour Noël] par décret du Parlement, au prétexte qu’il s’agissait d’une fête païenne » (article : “Christmas”). Quand le roi Charles II restaura la monarchie, cette interdiction fut levée, mais elle fut maintenue dans un grand nombre de colonies, en Amérique du Nord. Ce n’est que dans les années 1840, que Noël fut admis comme un jour férié dans le Massachusetts.

     

    Posez-vous cette simple question. Ceux qui prétendent être chrétiens devraient-ils prendre la Bible au sérieux ? Dans Jérémie 10 :2, ADONAÏ ELOHIM YHWH "Dieu" déclare à Son peuple, sous la plume du prophète : « N’imitez pas la voie des nations [ou des païens]. » Il continue en précisant que « les coutumes des peuples ne sont que vanité », autrement dit elles sont complètement vides et inutiles. ADONAÏ ELOHIM YHWH "Dieu" veut que Son peuple suive Ses instructions, et qu’il se détourne des pratiques païennes sans chercher à les imiter. De quelle sorte de coutumes, vaines et païennes, est-il question dans Jérémie 10 ? L’exemple spécifiquement mentionné dans ce chapitre concerne la coutume de couper un arbre, de l’amener dans la maison, de le faire tenir debout et de le décorer (versets 3-4). Cela ne ressemble-t-il pas, étrangement, à un arbre de Noël ?

     

    YAHUSHUA "Jésus" déclara : « C’est en vain qu’ils m’honorent, en donnant des préceptes qui sont des commandements d’hommes » (Marc 7 :7). Ceux qui désirent célébrer Noël pour adorer le YAHUSHUA "Christ" se retrouvent face à un dilemme : doivent-ils suivre l’exemple d’adoration prescrit dans les Écritures, ou doivent-ils rester accrochés à ces chères coutumes, sans se soucier de leur origine et de leur nature ? YAHUSHUA "Jésus" réprimanda de nombreux chefs religieux de Son époque, parce qu’ils rejetaient les commandements de ADONAÏ ELOHIM YHWH "Dieu" au profit de leurs propres traditions (verset 9).

     

    YAHUSHUA "Jésus" pourrait-Il prononcer ces mêmes paroles à votre sujet, en Se basant sur vos actions et vos choix ?

     

    Lorsque les anciens Israélites étaient près d’entrer dans la Terre promise, ils furent mis en garde de ne pas adopter les coutumes religieuses des nations environnantes (Deutéronome 12 :30-21). ADONAÏ ELOHIM YHWH "Dieu" leur demanda d’observer toutes les choses qu’Il leur avait enseignées, sans rien ajouter ni en retrancher à Ses instructions (verset 32).

     

    En conséquence, au lieu de chercher à associer le MESSIE "Christ" à Noël, nous devrions admettre qu’Il n’y a jamais été associé ! Noël n’a jamais été une fête chrétienne ! Les véritables chrétiens doivent le restituer aux païens, après tout, Noël leur appartient ! Au lieu de les emprunter au monde qui nous entoure, nous devrions tirer nos coutumes et nos pratiques religieuses de la Bible. Ce faisant, nous adorerons notre Créateur en esprit et en vérité, comme Il nous recommande de le faire (Jean 4 :24).

     

    mondedemain & cai

     


  • NETWORKS LINKSNETWORKS LINKS

     

    LES RÉVÉLATIONS CACHÉES - LA RECONSTRUCTION DU TROISIÈME TEMPLELES RÉVÉLATIONS CACHÉES - LA RECONSTRUCTION DU TROISIÈME TEMPLELES RÉVÉLATIONS CACHÉES - LA RECONSTRUCTION DU TROISIÈME TEMPLE

     

    Ein Kind, das vor einem glänzenden Menora mit all seinen Lichtern auf Zot Chanukka (8. Tag). Chanukiah die (8-Arm Kronleuchter + 1) sollte nicht mit dem Menorah verwechseln (7 Filialen Leuchter)

     

     In den letzten Jahrhunderten vor Ha'Mashiah Yahushua (Jesus Christus) erscheinen in der jüdischen Tradition drei neue Parteien: der Tag der Buße, das Fest der Widmung, die unten besprochen werden, und das Purimfest wird die Das nächste Mal, das Gegenstand eines Artikels in dieser Reihe. 

     

    Ursprung des Festes

    Der Begriff "Dedication" ist die Übersetzung des hebräischen Wortes "Hanukkah" wenig im Alten Testament verwendet wird, und verwendet, um die Weihe oder Einweihung des Altars für das Opfer zu Adonai JHWH Elohim Gd beschreiben ( 7.10ss Nb, 2 Ch 7.9). Die Bibel auch verwendet werden, um über die Eröffnung der Mauern von Jerusalem nach dem Wiederaufbau in der Zeit von Nehemia (Neh 12,27) sprechen.

    Das Fest der Widmung bezeichnet daher eine Einweihung, aber welche? Im Kalender der jüdischen Feiertagen ", die hebräische Bibel ignoriert die Feier ein Fest der Tempelweihe. Es erscheint nur in der letzten Periode des Zweiten Tempels im 2. Jahrhundert vor der messianischen Zeit." Dies ist ein Festival, das die Reinigung des Tempels von Jerusalem im Jahr 164 vor Christus feiert. AD Die Veranstaltung zu dieser Partei verbunden verdient eine historische Erinnerung.

     

          Das gereinigte Schutzgebiet

    Nach der Zeit des Exils, wurde der Tempel in Jerusalem unter persischer Regime Darius (520-515 v. Chr) die Mauern der Stadt später von Nehemiah (445) und das Leben wieder neu aufgebaut, unter der Führung von Esra Religiöse wiederbelebt. Im folgenden Jahrhundert geschah das Reich Alexanders des Großen griechischen, Gewinner der Perser. Durch ptolemäischen Dynastie (Griechen aus Ägypten) wurden Werte und jüdischen Traditionen von den Seleukiden, die Antiochus IV (175-164), ein fanatischer Anhänger der Hellenismus zerschlagen relativ unbeeinflusst   . "Jeder Kompromiss schien daher nicht zwischen Verteidiger des Hellenismus und den treuen Beobachtern des mosaischen Gesetzes ... Die orthodoxe aktuellen Mieter rebellierte gegen die königliche Autorität ... Praktiken als heidnisch und sogar Sakrileg wurden von der Seleukiden Macht übernommen ... Die große Verfolgung begann. Wir sind in 167 v. Chr The Maccabees, jüdischen Familie, zu den Waffen greifen, werden von den Gläubigen trat gewinnen Siege, und auf die Geschäftsführung nehmen in Jerusalem 164: sie abgöttisch Altar zerstören, ersetzen Sie es mit einem Gebäude für den Gottesdienst bestimmt Herrn.

     

    Institution des Festes

     Hier ist, was wir in 1 Makkabäer "The 25 des neunten Monats, genannt Kislew des Jahres 148 zu lesen, früh auf und in Übereinstimmung mit dem Gesetz, ein Opfer boten sie der neue Altar Brandopfer, die sie gebaut hatten "(1M 4.52s). Und in der zweiten: "Es war am selben Tag, dass der Tempel von Ausländern, die auch am Tag der Reinigung des Tempels, der 25. des gleichen Monats, die Kislev ist gefallen entweiht" (2 M 10.5). Am selben Tag stellt Judas Makkabäus die jährliche Gedenkveranstaltung: so wurde das Fest der Hanukkah, der Widmung geboren (1M 4,36-59; 2 M 10,1-18). "Durch die Einrichtung von Chanukka, war Judas innovative, aber zur gleichen Zeit wurde er von den während des Laubhüttenfestes ... One und das andere mit dem Thema der Weihe des Altars und der Wallfahrtskirche verbunden beobachtet Riten inspiriert . " 


     

    Text : Pierre-André Schaechtelin

     


  • NETWORKS LINKSNETWORKS LINKS

     

    LES RÉVÉLATIONS CACHÉES - LA RECONSTRUCTION DU TROISIÈME TEMPLELES RÉVÉLATIONS CACHÉES - LA RECONSTRUCTION DU TROISIÈME TEMPLELES RÉVÉLATIONS CACHÉES - LA RECONSTRUCTION DU TROISIÈME TEMPLE

     

    Uma criança na frente de um menorah brilhante com todas as suas luzes para Zot Chanukah (dia 8) .o Chanukiah (candelabro com oito ramos + 1) não deve ser confundida com a Menorah (7 ramos candlestick)

     

     Nos últimos séculos antes Yahushua Ha'Mashiah (Jesus Cristo) aparecem nos judeus tradição três novos partidos: o Dia da Expiação, a Festa da Dedicação que será discutido abaixo, e o festival Purim será a Da próxima vez, objecto de um artigo desta série. 

     

    Origem do festival

    O termo "Dedicação" é a tradução da palavra hebraica "Hanukkah" pouco usado no Antigo Testamento, e usado para descrever a consagração ou dedicação do altar para o sacrifício para Adonai YHWH Elohim Gd ( 7.10ss Nb; 2 Ch 7.9). A Bíblia também usado para falar sobre a abertura dos muros de Jerusalém após a reconstrução no tempo de Neemias (Neemias 12,27).

    A festa da Dedicação, portanto, designa uma inauguração, mas qual? No calendário de feriados judaicos, "a Bíblia hebraica ignora a celebração de uma festa da Dedicação. Ele aparece apenas no último período do Segundo Templo, no século 2 antes da era messiânica." Este é um festival que celebra a purificação do Templo de Jerusalém no ano 164 Antes. J-C. O evento ligado a este partido merece uma lembrança histórica.

     

          O santuário purificado

    Após o período de exílio, o templo de Jerusalém foi reconstruída sob regime persa Dario (520-515 Antes. J-C), os muros da cidade restaurados mais tarde por Neemias (445) e da vida Religioso reviveu sob a liderança de Esdras. No século seguinte se abateu sobre o império de Alexandre, o Grande grego, vencedor dos persas. Relativamente pouco afetado pela dinastia ptolomaica (gregos do Egito), os valores e as tradições judaicas foram agredidas pelos selêucidas, que Antíoco IV Epifânio (175-164), um torcedor fanático do helenismo . "Qualquer compromisso parecia impossível, portanto, entre os defensores do helenismo e os fiéis observadores da Lei mosaica ... Os ortodoxos atuais inquilinos se rebelaram contra a autoridade real ... práticas considerado pagão e mesmo um sacrilégio foram adotadas pelo poder selêucida ... A grande perseguição começou. Estamos em 167 Antes J-C. Maccabees, família judia, pegar em armas, são unidos pelos fiéis, conquistar vitórias, e assumir a gestão de Jerusalém, em 164: eles destroem o altar idólatra, substituí-lo por um edifício destinado ao culto Senhor.

     

    Instituição da Festa

     Aqui está o que lemos em 1 Macabeus, "O 25 do mês, chamados Kislev, no ano 148, eles se levantaram de madrugada e oferecido de acordo com a Lei, um sacrifício o novo altar dos holocaustos que eles haviam construído "(1M 4.52s). E no segundo: "Foi o mesmo dia em que o templo tinha sido profanado por estrangeiros, que também caiu no dia da purificação do Templo, no dia 25 do mesmo mês, que é Kislev" (2 M 10.5). No mesmo dia, Judas Macabeu estabelece o memorial anual evento: assim nasceu o festival de Hanukkah, a Dedicação (1M 4,36-59; 10,1-18 2M). "Através da instituição de Hanukkah, Judas era inovadora, mas ao mesmo tempo ele foi inspirado pelos ritos observados durante a Festa dos Tabernáculos ... Um e outro relacionado com o tema da consagração do altar eo santuário . "


     

    Texto : Pierre-André Schaechtelin

     


  • NETWORKS LINKSNETWORKS LINKS

     

    LES RÉVÉLATIONS CACHÉES - LA RECONSTRUCTION DU TROISIÈME TEMPLELES RÉVÉLATIONS CACHÉES - LA RECONSTRUCTION DU TROISIÈME TEMPLELES RÉVÉLATIONS CACHÉES - LA RECONSTRUCTION DU TROISIÈME TEMPLE

     

    A child in front of a shiny menorah with all its lights to Zot Chanukah (8th day) .the Chanukiah (chandelier with 8 branches + 1) should not be confused with the Menorah (7 branches candlestick)

     

     

     In the last centuries before ha'Mashiah Yahushua (Jesus Christ) appear in the Jewish tradition three new parties: the Day of Atonement, the Feast of Dedication which will be discussed below, and the Purim festival will the next time, the subject of an article in this series. 

     

    Origin of the festival

     The term "Dedication" is the translation of the Hebrew word "Hanukkah" little used in the Old Testament, and used to describe the consecration or dedication of the altar for sacrifice àADONAÏ YHWH Elohim God (No. 7.10ss; 2 Ch 7.9). The Bible also used to talk about the opening of the walls of Jerusalem after reconstruction in the time of Nehemiah (Nehemiah 12.27).

    The feast of the Dedication therefore designates an inauguration, but which one? In the calendar of Jewish holidays, "the Hebrew Bible ignores the celebration of a feast of Dedication. It appears only in the last period of the Second Temple in the second century before the Messianic era." This is a festival that celebrates the purification of the Temple of Jerusalem in the year 164 before. J-C. The event attached to this party deserves a historical reminder.

     

         The purified sanctuary

    After the period of exile, the temple in Jerusalem was rebuilt under Persian regime Darius (520-515 before. JC.), The walls of the city restored later by Nehemiah (445) and religious life revived under Ezra the pulse. In the following century befell the empire of Alexander the Great Greek, winner of the Persians. Relatively unaffected by the Ptolemaic dynasty (Greeks of Egypt), values and Jewish traditions were battered by the Seleucids, which Antiochus IV Epiphanes (175-164), a fanatical supporter of Hellenism. "Any compromise seemed therefore impossible between defenders of Hellenism and the faithful observers of the Mosaic Law ... The Orthodox current tenants rebelled against royal authority ... practices considered pagan and even sacrilegious were adopted by the Seleucid power ... The great persecution began We are 167 J-C.The Maccabees, Jewish family, take up arms, are joined by the faithful, win victories, and take over the management of Jerusalem in 164: they destroy the altar idolater, replace it with a building dedicated to the worship of the Lord.

     

    Institution of the Feast

    Here is what we read in 1 Maccabees: "On 25 the 9th month, called Kislev in the year 148, they rose early and offered in accordance with the Act, a sacrifice on the new altar of holocausts which they had built "(1M 4.52s). And in the second: "It was the same day that the temple had been desecrated by foreigners that also fell on the day of the cleansing of the Temple, the 25th of the same month, which is Kislev" (2M 10.5). The same day, Judas Maccabeus establishes the annual memorial event: thus was born the festival of Hanukkah, the Dedication (1M 4.36-59; 2M 10.1-18). "Through the institution of Hanukkah, Judas was innovative but at the same time he was inspired by the rites observed during the Feast of Tabernacles ... One and the other associated with the theme of the consecration of the altar and the sanctuary . "  


     

    Text : Pierre-André Schaechtelin

     


  • NETWORKS LINKSNETWORKS LINKS

     

    LES RÉVÉLATIONS CACHÉES - LA RECONSTRUCTION DU TROISIÈME TEMPLELES RÉVÉLATIONS CACHÉES - LA RECONSTRUCTION DU TROISIÈME TEMPLELES RÉVÉLATIONS CACHÉES - LA RECONSTRUCTION DU TROISIÈME TEMPLE

     

    Un niño delante de un menorah brillante con todas sus luces a Zot Janucá (octavo día) .el Janukiá (candelabro con 8 sucursales + 1) no debe confundirse con la Menorá (7 ramas de velas)

     

     

     En los últimos siglos antes Ha'Mashiah Yahushua (Jesús Cristo) aparecen en los judíos tradición tres nuevos partidos: el Día de la Expiación, la Fiesta de la Dedicación que se discutirá más adelante, y el festival de Purim será el la próxima vez, el tema de un artículo de esta serie. 

    Origen de la fiesta

    El término "Dedicación" es la traducción de la palabra hebrea "Hanukkah" poco usado en el Antiguo Testamento, y se utiliza para describir la consagración o dedicación del altar para el sacrificio al ADONAI ELOHIM YHWH  Di-s (7.10ss Nb; 2 Ch 7.9). La Biblia también se utiliza para hablar de la apertura de las murallas de Jerusalén después de la reconstrucción en el tiempo de Nehemías (Nehemías 12,27).

    La fiesta de la Dedicación, por tanto, designa una inauguración, pero ¿cuál? En el calendario de las fiestas judías, "la Biblia hebrea no tiene en cuenta la celebración de una fiesta de la Dedicación. Sólo aparece en el último período del Segundo Templo en el siglo II antes de la era mesiánica." Se trata de un festival que celebra la purificación del Templo de Jerusalén en el año 164 antes. J-C. El evento adjunto a esta fiesta se merece un recordatorio histórico.

     

         El santuario purificado

    Después de que el período de exilio, el templo en Jerusalén fue reconstruida bajo el régimen persa Darío (520-515 antes. JC.), Las paredes de la ciudad restaurados después por Nehemías (445) y de la vida religiosa revividos bajo Esdras el pulso. En el siglo siguiente que le sucedió al imperio de Alejandro Magno griego, ganador de los persas. Relativamente poco afectada por la dinastía ptolemaica (griegos de Egipto), los valores y las tradiciones judías fueron maltratadas por los seléucidas, que Antíoco IV Epífanes (175-164), un fanático defensor del helenismo. "Cualquier compromiso parecía, por tanto, imposible entre los defensores del helenismo y los observadores fieles de la ley mosaica ... Los actuales inquilinos ortodoxos se rebelaron contra la autoridad real ... prácticas considerado pagano y hasta sacrílego fueron adoptadas por el poder seléucida ... la gran persecución comenzó Somos 167 J-C el Macabeos, familia judía, tomar las armas, estamos unidos por los fieles, obtener victorias, y hacerse cargo de la gestión de Jerusalén en el año 164: de que destruyan el altar idólatra, reemplazarlo con un edificio dedicado al culto del Señor.

     

    Institución de la Fiesta

    Esto es lo que leemos en 1 Macabeos: "El 25 del mes noveno, llamado Kislev en el año 148, se levantaron temprano y ofrecieron de conformidad con la Ley, un sacrificio en el nuevo altar de los holocaustos que habían construido "(1M 4.52s). Y en el segundo: "Fue el mismo día que el templo había sido profanado por los extranjeros que también cayeron en el día de la purificación del Templo, el 25 del mismo mes, que es Kislev" (2 M 10.5). El mismo día, Judas Macabeo establece el evento conmemorativo anual: así nació la festividad de Janucá, la Dedicación (1M 4,36-59; 2M 10,1-18). "A través de la institución de Hanukkah, Judas fue innovador, pero al mismo tiempo que se inspiró en los ritos observados durante la Fiesta de los Tabernáculos ... Uno y otro asociado con el tema de la consagración del altar y el santuario ".


     

    Texto : Pierre-André Schaechtelin